Le sommeil de bébé
Après sa naissance, le bébé ressent un besoin important de sommeil. Il passe environ 65% de son temps à dormir, ce qu’il lui fait 14 à 16 heures de sommeil par jour. Celui-ci est construit sous différentes périodes qui vont de 3 à 4 heures.
Pendant qu’il dort, le bébé connaît deux cycles de sommeil distincts, qui changent toutes les 50 minutes. Il y a la phase du sommeil agité, durant laquelle le bébé bouge, émet de petits sons. Alors que la phase de sommeil calme est plus douce, et l’enfant ne bouge pas. Alors, pendant tout ce temps de somnolence, bébé a bien le temps de rêver ?
Bébé et les rêves
Cette question a longtemps été un mystère mais les scientifiques s’y penchent de plus en plus. Il a été prouvé que les rêves apparaissent aux alentours de la vingtième semaine chez le bébé. A partir de ce moment-là, l’enfant rêve environ 8 heures par jour, c’est-à-dire la moitié, voir plus encore, du temps où il dort. Toutefois, cela reste compliqué de connaître réellement le contenu des pensées des bébés, puisqu’ils ne possèdent pas encore le langage pour les raconter. Selon les scientifiques, leurs songes sont faits à partir de ce que le bébé vit dans la journée, lorsqu’il est éveillé. Leurs rêves sont alors un mélange de sons entendus, d’images perçues au quotidien et de sensations ressenties pendant la journée. C’est comme si le bébé revivait sa journée une seconde fois. Cela lui permet d’apprendre doucement au quotidien, et de se créer, petit à petit, sa propre identité. De plus, les scientifiques affirment que les rêves sont indispensables au bon développement du bébé puisqu’ils permettent de stimuler le cerveau et d’entrer progressivement dans une démarche de mémorisation.
Et les cauchemars de bébé?
Avec l’arrivée des songes viennent aussi les cauchemars. Les premiers mauvais rêves émergent autour de la première année. Le bébé pleure et bouge beaucoup, c’est un moyen pour lui d’appeler « à l’aide », pour le sortir de ses rêves. L’apparition des cauchemars chez l’enfant est un moyen
d’extérioriser les peurs de celui-ci. Cependant, lorsque les premiers cauchemars débarquent, l’enfant est encore jeune. C’est pourquoi il ne sait pas encore faire la différence entre la réalité et les rêves. La présence et le réconfort des parents est alors indispensable pour calmer l’enfant, et lui fait comprendre que le cauchemar est fini. Vous pouvez d’ailleurs garder un œil permanent sur votre bébé, lorsqu’il dort, avec la babybox Marmott’. Elle est facilement transportable d’une pièce à une autre, ce qui permet de surveiller bébé et d’être présent s’il fait un mauvais rêve.